Les personnes qui ont survécu à la tuerie de Polytechnique ainsi que les familles des victimes portent à bout de bras le combat pour le contrôle des armes à feu. L'attention consacrée à cette bataille a-t-elle occulté le fait que la tragédie du 6 décembre 1989 était avant tout un attentat antiféministe? Pourquoi a-t-il fallu attendre de nombreuses années avant de la nommer ainsi? Après avoir lu la lettre laissée par Marc Lépine le soir de la tuerie, Marie-Joanne ne peut s'empêcher de penser que le qualificatif de « tireur fou » attribué à Lépine banalise les motivations derrière le massacre de ces 14 femmes.
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