La recherche liée aux maladies rares – qui sont mal comprises et peu communes – reçoit moins de financement que celle visant à guérir d'autres maladies plus répandues, mais parfois plus anodines, comme la calvitie. Quel est l'intérêt d'investir des sommes gigantesques pour éradiquer une maladie qui ne touche qu'un infime pourcentage de l'humanité? Kéven Breton explore des pistes de solution.
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