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Début du contenu

Être...

Être...

  • Être Népalais et vouloir survivre

    Sept ans après le gros tremblement de terre de 2015, Alain Crevier visite un village toujours en ruines, mais où les habitants vivent encore. Il se rend également à la maternelle que la nonne et musicienne Ani Choying a fait construire, afin que les enfants puissent vivre l'enfance qu'elle n'a jamais eue.
  • Être une femme au Népal

    Les femmes au Népal sont plus présentes dans les universités et dans le monde des affaires qu'avant, mais il reste beaucoup de chemin à parcourir pour atteindre la parité. C'est ce que constate Alain Crevier, qui part à la rencontre d'une femme d'affaires, d'une guide de montagne, d'une médecin et d'une juge à la Cour suprême, tous des métiers majoritairement exercés par des hommes.
  • Être une nonne népalaise et devenir une vedette internationale

    Née à Katmandou, au Népal, à l'ombre d'un des plus grands temples bouddhistes du pays, Ani Choying a vécu une enfance difficile avec un père violent. C'est en trouvant refuge dans un monastère qu'elle a aussi trouvé sa liberté et commencé sa deuxième vie, comme religieuse. Alain Crevier rencontre cette femme, aujourd'hui devenue célèbre grâce à son chant, qui fait don de sa richesse pour aider les femmes népalaises.
  • Être humain et plus grand qu'on ne l'imagine

    Alain Crevier visite Le Phare, un centre de soins palliatifs pour enfants à Montréal. Malgré les sentiments d'injustice, d'incompréhension et d'impuissance qui y règnent, il découvre un endroit lumineux et empli de bienveillance. Les parents font preuve d'une résilience qui défie l'entendement, comme la musicienne Jorane, mère de Manolo, et Geneviève, mère de Victor.
  • Être humain et se reconstruire

    Le 26 décembre 2018, l'auteur et comédien Robert Lalonde et sa conjointe, France Capistran, se réveillent au beau milieu de la nuit, alertés par une lueur inhabituelle. Des flammes ravagent la maison que France a construite de ses mains, ainsi que les 4000 livres que Robert possède. Un tel événement aurait pu atterrer le couple, mais quelque chose d'inattendu s'est produit après l'incendie : le désir d'accepter la rupture pour recommencer autrement.
  • Être jeune et hériter d’une révolution inachevée

    En codirigeant le recueil Libérer la culotte, l'autrice féministe Geneviève Morand a constaté que les relations intimes entre hommes et femmes sont loin d'être égalitaires. De son côté, l'autrice et actrice trans Gabrielle Boulianne-Tremblay a longtemps eu le sentiment d'être « inadéquate » dans la société. Cinquante ans après la révolution sexuelle, la jeune génération remarque qu'il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.
  • Être jeune et vivre autrement

    Noémie Bureau-Civil et Guillaume Bazire ont quitté Montréal et leur emploi pour s'établir en région rurale. Le couple construit lui-même sa minimaison sur roues, fabriquée en grande partie de matériaux recyclés ou récupérés. Il vit ainsi de façon cohérente avec ses valeurs profondes, mais est-ce assez pour atteindre le bonheur?
  • Être jeune et vouloir changer le monde

    Sara Montpetit avait seulement 17 ans lorsqu'elle s'est retrouvée au cœur d'un mouvement qui a rassemblé un demi-million de personnes lors de la grande marche pour le climat en septembre 2019 à Montréal. Martine Desjardins n'en avait que 30 au moment où des manifestations étudiantes ont mobilisé le Québec. Entre les pancartes pour le climat et les casseroles des carrés rouges, Alain Crevier va à la rencontre de ces jeunes qui ont voulu changer le monde.
  • Être Maïtée Labrecque-Saganash

    Maïtée Labrecque-Saganash a 26 ans. Toute sa jeunesse, elle a dû composer avec l'héritage des pensionnats autochtones que son père et d'autres membres de la communauté crie de Waswanipi ont eu à fréquenter de force. Des décennies après la fermeture du dernier pensionnat au Canada, cette incursion dans la vie de Maïtée nous permet de prendre la pleine mesure des défis auxquels font face les jeunes des Premières Nations.
  • Être dans le silence du secret

    Parfois, le silence sert de frontière pour ne pas exprimer une émotion, pour ne pas éclater, selon la psychologue Rose-Marie Charest. Pierre Bolduc, lui, a mis 42 ans avant de briser le silence d'un secret trop lourd à porter. Mais le jour où il a décidé de parler, son silence s'est transformé en sorte de quête.
  • Être dans un silence bruyant

    Quand on passe 129 jours seule au milieu de l'océan comme l'a fait la rameuse Mylène Paquette, on vit autrement les moments de grand silence. Elle dit qu'une mer calme sans un son donne l'impression d'être seule au monde. Le silence fait aussi partie du quotidien de l'audiologiste Tony Leroux, qui observe ses patients dans des caissons étanches. On y est si près du silence absolu que l'on peut même y entendre son sang pulser dans ses veines.
  • Être en silence

    Certains vénèrent le silence au point d'en faire un objet de quête. Le comédien Stéphane Crête s'est rendu trois fois dans le désert afin d'y trouver une tranquillité rare et nourrissante. Émerveillé par l'émotion causée par le silence, le cinéaste Bernard Émond a mis celui-ci en scène dans certains de ses films. « On voit mieux dans le silence », dit-il.
  • Utile (et vivant jusqu’au bout), épisode 3

    Ghislain Leblond, atteint d'une maladie neurodégénérative, s'est investi pleinement dans le débat pour l'aide médicale à mourir. Cloué dans un fauteuil roulant, il a contribué aux changements de mentalité concernant cet enjeu délicat. Pendant ce temps, dans une maison de soins palliatifs, des bénévoles vivent des moments intenses avec des gens en fin de vie. | Avis : cet épisode aborde des questions de fin de vie et de suicide. Nous préférons vous en avertir. N'hésitez pas à consulter les ressources près de chez vous si vous en ressentez le besoin.
  • Utile (à l’extrême), épisode 2

    Certaines personnes donnent de leur temps à des délinquants sexuels ou encore à des sans-le-sou marginaux. Pourquoi font-ils preuve de tant d'empathie et même d'abnégation pour des gens rejetés par tout le monde ou pour ceux qui ont commis l'irréparable? Parce que, selon Annick Lavogiez, l'une des personnes rencontrées, tout le monde a droit à une deuxième, à une troisième et même à une quatrième chance.
  • Utile (ou inutile), épisode 1

    Un jour, face à un homme en détresse dans la rue, Alain Crevier s'est senti dépourvu, inutile. Il a alors décidé d'aller à la rencontre de ceux qui ont fait le choix d'aider les autres. Comment font-ils? Pourquoi le font-ils? Parmi quelques réponses : donner un sens à leur vie, participer à la vie de la communauté, rendre le monde plus humain. Mais pourquoi tant de bonté?
  • Vieux

    On le constate avec les avancées de la science, l'espérance de vie ne cesse d'augmenter. De plus en plus de personnes âgées mènent une vie active. Toutefois, pour certains, l'image qu'on présente des aînés, surtout en temps de pandémie, est synonyme de maladie et de solitude. Alors, être vieux aujourd'hui, c'est quoi? « Et, en passant, c'est qui ça, les vieux? », se demande Alain Crevier.
  • Entre aujourd’hui et demain

    Même une fois surmontée, la crise pandémique restera longtemps gravée dans nos mémoires et dans nos cœurs. Elle nous porte aussi à réfléchir sur ce que sera le monde de demain. Alain Crevier parle avec ses invités de liberté, d'altruisme, d'égoïsme, de leadership médical, d'environnement, de la mort... et du bonheur de retrouver ses petits-enfants.
  • Serein

    Comment trouver la paix intérieure en période de crise? Comment surmonter ce sentiment de vulnérabilité qui nous habite? Le moine bouddhiste Matthieu Ricard, confiné dans son ermitage au pied de l'Himalaya, au Népal, nous révèle quelques pistes de réflexion sur l'empathie, l'altruisme, la solidarité et l'humanisme. Et, en prime, quelques techniques de méditation!
  • Dans l'attente

    Pendant que Zachary Richard attend les résultats de son test de dépistage de la COVID-19, Alain Crevier prend de ses nouvelles. Confiné dans son village en Louisiane, le chanteur profite de son temps pour essayer de « s'améliorer personnellement ». Donald Trump s'impose dans la conversation, mais le poète parle aussi de nature, d'amour et de sa mère.
  • Confinés

    Alain Crevier prend des nouvelles de son amie italienne, confinée à Rome à cause de la COVID-19. Ils échangent sur le quotidien des Romains, terrés chez eux, mais solidaires. Aussi, à la veille de la fin de leur quarantaine, les médecins Éric Gagnon et Joanne Liu réfléchissent à leur rôle et à celui de nos dirigeants, à la mort, et à notre humanité commune.
  • En colère

    On dit que la colère est mauvaise conseillère. Mais l'est-elle vraiment? Certains prétendent qu'elle est nécessaire et libératrice, et qu'elle peut même transformer la société. Alain Crevier rencontre trois personnes qui se sont indignées plus d'une fois dans leur vie! Le point de départ de cette réflexion : la colère de Greta Thunberg devant l'Organisation des Nations unies (ONU).
  • Résiliente

    Catherine Bergeron a vécu une double tragédie. Elle a perdu sa soeur dans la tuerie de Polytechnique, à Montréal. Puis, son fils dans un accident de vélo, des années plus tard. Comment fait-on pour tourner la page? Est-on habité par des sentiments d'injustice, de colère? L'histoire de Catherine en est une de tristesse, mais surtout de sérénité et de résilience.
  • Croyantes?

    Les bancs d'église se vident au Québec, mais les gens cherchent toujours à combler leur besoin de spiritualité. Alain Crevier rencontre trois femmes de différentes générations et aux parcours divers : une croyante catholique, une agnostique et une bouddhiste. À leur manière, chacune d'elles nous interpelle sur la façon d'aborder la vie, la mort... et tout ce qu'il y a entre les deux!
  • Heureux

    Le bonheur, on le cherche partout. Il y en a qui programment leur vie pour le trouver, d'autres l'obtiennent en se sentant utiles, par exemple. Pourquoi certaines personnes ont-elles le bonheur facile? Notre société ne valorise-t-elle pas trop le bonheur à tout prix? Alain Crevier rencontre des gens d'horizons divers qui constatent que le bonheur, ça ne tombe pas du ciel.
  • Survivantes

    Le 6 décembre 1989, Marc Lépine entre dans une salle de classe de l'École polytechnique de Montréal armé d'un fusil semi-automatique. Il cible les femmes, tuant quatorze d'entre elles. Trente ans plus tard, Alain Crevier rencontre deux survivantes, chacune à leur manière, de cette tragédie qui a marqué le Québec et le Canada.