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Début du contenu

Montage visuel de l'animateur et du titre de la série balado.

Sans réserve

  • Laurie Rousseau-Nepton

    Laurie Rousseau-Nepton traque les étoiles, ce qui lui donne l'impression de rester en contact avec la nature. L'astronome basée à Hawaii raconte comment la découverte de ses racines innues lui permet de proposer un bagage culturel stimulant dans un univers professionnel majoritairement masculin.
  • Elisapie Isaac

    Quand elle était petite, au Nunavik, Elisapie Isaac chantait dans une église anglicane, mais aussi à la station de radio communautaire de son village, Salluit. L'artiste s'ouvre sur sa décision de quitter sa famille pour aller vivre à Montréal durant son adolescence. Elle explique aussi comment elle a vécu sa rencontre avec son père biologique, un Blanc de Terre-Neuve.
  • Joé Juneau

    Une fois retraité, l'ex-hockeyeur professionnel Joé Juneau a mis son expérience à profit : il s'est investi pour apprendre la persévérance aux jeunes Inuit du Nunavik. Le programme de hockey qu'il a mis sur pied a obtenu un vif succès. Grâce à cette expérience, de jeunes filles et de jeunes garçons du Nord ont solidifié leurs liens avec leur communauté.
  • Marc Séguin

    Marc Séguin admire le lien durable qu'entretiennent les Autochtones avec leur territoire. Dans sa peinture, ses écrits, mais aussi dans sa vie au quotidien, l'artiste a investi beaucoup d'énergie pour comprendre ce que cela représente vraiment. Il révèle quelques-unes des leçons apprises dans la nature boréale.
  • Serge Bouchard

    Élevé à l'ombre des raffineries de l'est de Montréal, l'animateur et auteur Serge Bouchard a consacré une grande partie de sa vie à réhabiliter les oubliés de l'histoire. Ses livres Le peuple rieur et Mathieu Mestokosho, chasseur innu témoignent de son immense respect des communautés innues de la Côte-Nord.
  • Sonia Bonspille-Boileau

    Née à Kanesatake d'une mère mohawk et d'un père québécois, Sonia Bonspille-Boileau se réapproprie son identité par le biais du cinéma. Ses films livrent un point de vue mohawk sur la société actuelle. La cinéaste raconte comment le cauchemar des pensionnats pour Autochtones est demeuré une blessure vive dans le cœur de son grand-père.
  • Boucar Diouf

    Allié des premiers peuples, l'ancien cultivateur d'arachides devenu océanographe parle de sa rencontre marquante avec les membres de la communauté crie d'Oujé-Bougoumou (Chibougamau). Boucar Diouf aborde aussi la question primordiale de la santé du fleuve Saint-Laurent, appelé le « chemin qui marche » par les Autochtones.
  • Michel Jean

    Journaliste de métier, Michel Jean sait qu'il est inutile de poser trop de questions aux aînés autochtones : il faut savoir les écouter avant tout. Auteur de romans à succès tels que Kukum, l'Innu de Mashteuiatsh explique pourquoi il a longtemps caché ses origines.
  • Lisa Koperqualuk

    L'essayiste Lisa Koperqualuk se souvient du vent qui soufflait sur ses joues lorsqu'elle jouait dehors durant son enfance. En cofondant Saturviit, l'Association des femmes inuit du Nunavik, elle souhaite aider ces dernières à retrouver un sentiment d'égalité au sein de leur communauté. L'artiste se remémore l'apprentissage du séchage de la viande de caribou auprès de son grand-père.
  • Anne Panasuk

    Inspirée par la place importante des enfants au sein des communautés innues, cette journaliste d'expérience a remué ciel et terre pour révéler les injustices commises contre de nombreux membres de la communauté. Elle raconte comment cette démarche a permis à nombre d'entre eux de regagner leur dignité.
  • Michèle Audette

    Michèle Audette est de nature curieuse depuis son enfance et se souvient d'une jeunesse remplie d'amour. La sénatrice a senti une aisance avec la parole à un jeune âge et se sent fière d'avoir osé entrer en politique. Elle raconte son parcours de femme et de femme politique, de son sentiment d'être rejetée à sa sérénité d'être à la fois innue et québécoise.
  • Denys Delâge

    La compréhension de l'histoire, c'est la quête de l'historien, anthropologue, auteur et enseignant Denys Delâge. À la recherche des « sans voix », l'historien ancre ses écrits et ses recherches vers ces gens qui n'ont laissé que peu de traces en Amérique du Nord avant l'arrivée des peuples européens.
  • Nicole O’Bomsawin

    La parole est l'outil le plus précieux de Nicole O'Bomsawin. L'anthropologue et raconteuse a été immergée dès son plus jeune âge dans les récits et histoires autochtones grâce aux personnes aînées dans son entourage, dont son grand-père. Elle a rapidement réalisé, en étudiant l'anthropologie et en collaborant avec l'Association des femmes autochtones du Québec, que raconter l'histoire des premiers peuples allait devenir sa vocation.
  • Christian Pilon

    L'artisan de canot Christian Pilon a longtemps caché son ascendance métisse. La première fois qu'on a reconnu son affiliation autochtone, cela a été comme un coup de poignard pour lui. L'artisan est désormais fier de ses racines et aime en raconter les histoires. Établi d'abord en ville, il a souhaité se rapprocher de la nature et raconte comment il est tombé amoureux de la fabrication de canots.
  • Laure Morali

    Attirée par la poésie du mot « Mingan », la poète et documentariste Laure Morali a souhaité explorer le territoire québécois dans les années 1990 et rencontrer les Premières Nations. L'archipel de Mingan a été un coup de foudre pour elle. Elle y a rencontré l'Innu Shimun, qui l'a beaucoup marquée, lui rappelant sa propre famille, notamment son grand-père.
  • Anne Panasuk

    Être journaliste, c'est avoir l'espoir de changer les choses et de trouver la vérité ainsi que la justice, selon Anne Panasuk. Son intérêt pour les Premières Nations à titre d'anthropologue s'est révélé notamment grâce à celui qu'elle appelle son mentor, son collègue Rémi Savard. Elle avoue qu'elle a été profondément changée par la culture et le territoire en s'intégrant pendant un temps dans la vie innue.
  • Chuck Hughes

    Le chef cuisinier Chuck Hughes a été « frappé comme une masse » lorsqu'il est parti cueillir du riz sauvage avec des Autochtones pour le tournage d'une de ses émissions. Il a réalisé qu'il ne connaissait rien des traditions culinaires de peuples qui vivent pourtant si près de lui. Son désir d'apprendre l'a mené à se rapprocher des Premières Nations et de leur gastronomie.
  • Shauit

    Apprendre l'innu a permis à Shauit de comprendre qu'il avait grandi coupé de sa culture. De même, l'auteur-compositeur-interprète a grandi avec la musique anglo-saxonne plutôt qu'avec la musique autochtone. Musicalement, c'est lorsqu'il a découvert le folk innu, et qu'il s'est armé lui-même d'une guitare acoustique, que tout a changé pour lui.
  • Julie Grenier

    Julie Grenier a toujours été proche de sa famille. Originaire de Kuujjuaq et directrice générale de la compagnie de production audiovisuelle Taqramiut Nipingat inc., elle raconte comment sa vie de famille a toujours tourné autour des traditions et de la culture, de la pêche à la couture. Elle explore son rapport complexe à la langue, se sentant parfois rejetée par les Autochtones, elle qui ne maîtrise qu'un peu l'inuktitut.
  • Myriam Verreault

    La réalisatrice et scénariste Myriam Verreault recherche constamment l'authenticité, l'humanité et la vérité des scènes et des gens qui les incarnent. Elle se dit émue que son travail sur les Premières Nations puisse aider à changer la vision que certaines personnes peuvent avoir sur d'autres, et sur le monde, comme avec le film Kuessipan, coécrit avec l'autrice Naomi Fontaine.
  • Geoffrey Kelley

    Geoffrey Kelley a souhaité faire de son mieux lorsqu'il était ministre responsable des Affaires autochtones du Québec. Il était important pour lui de se rendre auprès des communautés autochtones pour mieux comprendre leurs réalités. Il en a d'ailleurs visité 53 sur 55 au cours de ses différents mandats. L'ex-ministre raconte ses souvenirs avec différentes personnes aînées et des leaders, tout en soulignant les défis qu'il reste à relever pour améliorer les relations avec les Autochtones au Québec.
  • Diane Obomsawin

    Diane Obomsawin a longtemps vécu loin de ses racines abénakises, sa famille ayant honte d'avoir des origines autochtones. Son père renouera cependant avec les traditions autochtones et s'assurera que ses enfants y deviennent sensibles. La réalisatrice et dessinatrice raconte que le rêve prend beaucoup de place dans sa vie. Ces rêves la lient fortement à sa culture autochtone, et elle souhaite avant tout les comprendre.
  • Martin Gagné

    Martin Gagné est avant tout un « tripeux » de cuisine. Chef cuisinier pendant 10 ans à l'Hôtel-Musée Premières Nations de Wendake, il s'est rapproché de différentes Premières Nations et a beaucoup appris au fil de sa carrière culinaire. Il raconte son parcours gastronomique, de ses débuts à Sherbrooke jusqu'à son arrivée à Wendake, et les défis de recruter des Autochtones dans les équipes de l'hôtel.
  • Monika Ille

    Originaire d'Odanak, Monika Ille est cheffe de la direction du Réseau de télévision des peuples autochtones (APTN). Pour elle, l'audiovisuel est un moyen pour les Premières Nations de prendre leur place dans la société. Elle raconte comment son parcours familial la destinait à une carrière à Radio-Canada avant de devenir recherchiste sur les dossiers autochtones à l'Office national du film du Canada (ONF). C'est par ce biais qu'elle a découvert l'importance de raconter des histoires.