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Mesrine : l'orgueil et le sang

Mesrine : l’orgueil et le sang

  • Mesrine : l'orgueil et le sang – bande-annonce

    Jacques Mesrine est devenu dans les années 1970 un personnage unique dans les annales du crime moderne. L'auteur de documentaires d'enquête Stéphane Berthomet débroussaille le passé du criminel pour comprendre comment ce dernier est devenu, en 10 ans à peine, l'ennemi public numéro un en France. Des faits inédits et de nombreux témoignages permettent de reconstituer le portrait d'un homme pour qui la célébrité, la reconnaissance et la gloire comptaient plus que le sang versé pour y parvenir.
  • Créer son propre personnage

    Dans les années 1960, Jacques Mesrine a déjà commis des actes répréhensibles en France, mais il reste cependant un simple voyou. C'est après sa fuite vers le Québec, en 1968, qu'il devient un criminel aguerri, mais surtout recherché. Il y invente son personnage de bandit flamboyant et pose les bases d'un mythe dont la célébrité persiste encore de nos jours.
  • À l’école du crime

    Jacques Mesrine développe un véritable savoir-faire criminel, notamment grâce à sa rencontre avec le braqueur québécois Jean-Paul Mercier. La recette est simple : enlèvements, braquages, meurtres, le tout bien à la vue des médias. Mesrine s'attaque aussi au système carcéral et aux conditions de détention dans les quartiers de haute sécurité. Mais son indépendance et sa tête brûlée finissent par le rendre gênant autant pour la police que pour la mafia.
  • Jacques voulait devenir Mesrine

    D'où peut bien venir la violence de Mesrine et sa volonté d'être remarqué à tout prix? Comment démêler le vrai du faux? Ces questions sont au cœur de la quête pour comprendre ce personnage sombre qui ne semblait vivre que pour le crime et la lumière des médias. Pour tenter d'y répondre, Stéphane Berthomet revient en arrière pour découvrir la personnalité déjà orgueilleuse et bouillonnante du jeune Jacques Mesrine.
  • La bête médiatique

    Jacques Mesrine retourne en France au début des années 1970 et entreprend de nombreux braquages sur le modèle appris au Québec. Les coups d'éclat se succèdent, comme lorsqu'il offre le champagne aux policiers venus l'arrêter... Mais Mesrine veut toujours plus de notoriété et les médias sont là pour la lui offrir, quitte à omettre un peu la violence grandissante dont fait preuve celui désormais qualifié d'« ennemi public numéro un ».
  • Le point de non-retour

    Mesrine se comporte de façon de plus en plus erratique. Il continue cependant ses coups d'éclat, comme lorsqu'il enlève l'ancien banquier Henri Lelièvre avant de s'en prendre coup sur coup à un juge et à un journaliste. Mais son orgueil le pousse toujours plus loin. Ses actions sont de plus en plus guidées par la vengeance, ce qui inquiète même certains de ses complices. Mesrine avouera lui-même avoir franchi un point de non-retour.
  • Comment Mesrine a tué Jacques

    La traque finale et la mort de Jacques Mesrine forment la clé de voûte d'un mythe qui a continué de s'amplifier par la suite : films, livres, émissions, groupes d'admirateurs... Ses dernières paroles enregistrées sur une cassette audio sont troublantes et semblent même prophétiques. Elles laissent entendre que Mesrine savait d'avance ce qui allait se passer. Ses mots ont des allures de répliques d'un personnage de film. Un personnage que Mesrine a lui-même créé dix ans plus tôt.