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Trois femmes font de la course à pied.
Trois femmes font de la course à pied.PHOTO : iStock
Publié le 29 mars 2024

Pour vieillir en santé, les personnes vivant avec le diabète de type 1 ont tout intérêt à rester actives. Or, les effets du sport sur leur glycémie ont été peu étudiés, ce qui peut rendre l'aventure risquée. Surtout pour les femmes, largement sous-représentées dans la recherche.

Les progrès de la science font qu’on vit mieux et plus vieux, aujourd’hui, avec le diabète de type 1. Le défi d’intégrer l’activité physique à sa vie, malgré la maladie, se pose donc de plus en plus pour des personnes diabétiques qui avancent en âge.

Un accompagnement adéquat en matière d’ajustement des doses d’insuline, de l’alimentation et du type d’activité sportive peut éviter qu’une bonne résolution ne cause des problèmes de santé graves... Mais les données manquent pour bien personnaliser le suivi.

Les femmes, surtout, ont été longtemps exclues des études en raison des fluctuations hormonales liées à leur cycle menstruel ou à la ménopause. C’est pourtant là une dimension incontournable de l’équilibre qui doit être trouvé pour elles. Résultat: ce sont les femmes qu’on peine le plus à guider pour qu’elles puissent faire du sport en toute sécurité.

Le journaliste scientifique Jean François Bouthillette a rencontré la chercheuse Jane Yardley, dans son gymnase de recherche de l’Institut de recherche clinique de Montréal. C’est là qu’avec ses projets de recherche elle travaille à combler ce vide.

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